mercredi, septembre 27, 2006

Vendredi matin : après une grosse soirée, on se couche vers 4 heures. C'était vraiment cool.

Vendredi soir, on remet ça, et là, on se pose au concert, derrière la scène, et on boit (beaucoup) et on danse (peu). On commence à rigoler quand les auxerrois se mettent à faire du po-go ! A 6, ça fait 800 kilos de barbac' qui (se) remue les gens autour.

Après, on continue nos activités ludiques en pratiquant des plaquages à outrance, sur tout type de personnage : fille isolée, 2 filles (record détenu par votre serviteur, 2 en même temps, sans faire tomber leur verre, en douceur...), et entre nous (c'est déjà plus sportif !).


Au final, on passe une soirée pépère, et une partie de la troupe finit par se rentrer.

Mais surprise, géraldo, qui ne voulait pas en rester là de la soirée, la prolonge en me réveillant. Micka nous rejoint, et l'on part, à 6 heures du mat', chercher des gens qui sont pas encore couchés dans le camping.

On croise Harry Roselmack (il paraît que c'était le moment de la matinée selon géraldo), qui nous paie une bière à moitié pleine (remarquez l'optimise chronique de mes expressions, j'aurai pu dire à moitié vide...).

Micka nous confie après qu'il a vu un mec bouger une tente. Il y avait une nana à l'intérieur (et un mec à l'intérieur de la nana). Comme quoi l'alcool lève beaucoup d'inhibition !

Enfin, bon, au final, on s'endort tous comme des chèvres, et quand on se réveille, gérald et le groupe parisien sont déjà parti larver dans bayonne. A l'ordre du jour : PMU, parlage avec des gars du coin, et buvage de bière.

Nous, on décide d'aller mourir à la cafétéria avec Virginie et Franck. On passe tous aux chiottes, et direction la plage.

Les autres s'en vont, et plient bagages le samedi après-midi. On se retrouve à 6 et on décide, avec nos 14 auxerrois, de faire un resto le soir dans Bayonne. Je vous raconte pas le bordel...




dimanche, septembre 17, 2006

Jeudi matin : on se fait réveiller par le soleil. A Bayonne, il pleut pas longtemps, et le soleil reprend ses droits rapidoss.

Ce soir, il y a que du bonheur qui arrive : Géraldo, Céline, manu et pierre. Enfin, quoi, de quoi compléter la bande de lascards et faire n'importe quoi.

En plus, Rouquin (un des auxerrois) me confirme qu'ils vont à leur tour se ravitailler au pays des banderilles. Apéro costaux en prévision.

Par contre, le réveil est mitigé, on a envie de décéder, R1 se demande comment il s'est fait ça à sa main, et ne se souvient plus qu'il a insulté le médecin pompier qui lui a posé les points, et qu'il a insulté une secouriste parce qu'elle lui demandait son nom et son prénom. Elle voulait en savoir trop...

Enfin, on décide de se cassosss à la playa, et avec cela comme grande idée d'aller manger un morceau à la cafèt' du casino. Outre le mangeage, un bien précieux se trouve là-bas, à savoir, des toilettes en dur, avec une cuvette et tout et tout...
On s'est d'ailleurs assez rapidement rendu compte que c'était une planche de salut pour beaucoup de monde...

Bref, passons, passons. Le soir, voilà les potos de Paris réunis, et l'apéro se déclenche assez rapidement chez nos amis du ballon ovale. On picolle comme des coins.

Géraldo s'adonne à son sport national, le noircissage des incisives, et nous apportons une touche artistique en rajoutant du rouge (on est à bayonne bordel de nouille).

Enfin, après un apéro prolongé, on migre vers le p'tit Bayonne, en n'oubliant pas de s"arrêter chez tous les voisins (1.500 tentes, ça fait des voisins)... Et cette soirée est assez rapidement placée sous le signe du n'imporque quoi, avec un gros seatting sur une place où il y a un concert. On en profite pour shooter des fesses... Et nos groupies...










Enfin, bon, après cette pyramide de cul, on en arrive au truc assez classique pendant les fêtes : on se perd. Il y a donc deux groupes qui se forment. Pas cool, je perd géraldo et céline, alors que je voulais faire les fiestas avec eux.

Enfin, bref, on continue la soirée, sous les halles, où il fait bien chaud, à se tamponner au ricard. La soirée est bien chaude et on est prêt à aller jusqu'au bout.

vendredi, septembre 15, 2006

Mercredi soir (2 août) : à 0h00, notre première soirée promet. On fait une des rares photos de groupe, avec R1, qui, en bas à droite, s'habitue déjà au contact chaud et doux de son corps avec le sol (voir plus loin...)

La soirée donc, qui pourtant avait bien commencé, est en effet entâchée par un drame humain sans précédent dans mes anales (pas mes fesses, mon historique) de festayre bayonnais. R1, dit le hobbit fou, d'un superbe geste technique selon les témoins qui ont eu la chance d'assisiter à la cabriole, perd l'équilibre (on ne sait pas pourquoi, lui non plus, puisqu'il nous a répondu "jeeeeee séééééééé pooooa purkoi, ji sui tommbééééééé" dans un français impeccable) et sa main droite retombe sur un tesson de bouteille qui avait choisi de séjourner dans un caniveau de bayonne, tranquille.
Bref, après avoir légèrement insulté une infirmière qui voulait faire un garrot direct, et qui nous a seulement répondu que c'était pas marqué sur notre front qu'on était pompier, on s'en est allé, gwen, R1 et moi-même, au poste de secours. Mickaël restait avec le groupe des rugueux.

2h00 : on sort du poste de secours, on retrouve pas les autres (faut pas déconner non plus, on est quand même à Bayonne), et il se met à pleuvoir. Tout va bien. R1 se met à vouloir faire comme les autres, à savoir glisser sur la chaussée humide. Après quelques avertissements, on le laisse jouer, et il re-perd l'équilibre, et re-retombe sur sa main droite. àa re-resaigne, on a re-re-re-re-re-envie de tuer R1, qui se précipite vaillament vers un des derniers bars présents sur la route pour demander au barman de lui refaire ses points de suture... On l'arrête à temps, et on va se coucher. R1 est bourré, on est trempé. Bayonne commence bien... Micka et les autres débarquent, eux aussi mouillés (on s'est perdu, mais confirmation, on était bien dans la même ville, c'est rassurant...)

jeudi, septembre 14, 2006

Salut les pépères. C'est début Août, et j'ai l'honneur de faire découvrir à des potes les fêtes de bayonne. Direction chez mes parents d'abord (dans le sud-ouest, con !), et après, on se cale à Bayonne.

Premier soir (mardi, un jour avant les fêtes) sans camping, donc obligé de pécho un hôtel à l'arrache avec une chambre pour 3 où on dort à 4 (Micka s'est planqué dans la voiture, et n'existe pas administrativement pendant une nuit...)



On regarde L'ïle de la tentation. Classique. On s'endort comme des chêvres, pour se lever à 7 heures pour aller aux premières loges du camping ouvert spécialement pour les fêtes de bayonne.


7h30 : Au final, on se réveille tels des guerriers, et on profite ensemble une dernière fois des chiottes en durs, parce qu'après, c'est la misère. On se pointe à 7h30 devant le terrain vague, attendant l'ouverture à 8 heures (dixit un gardien la veille) et là, le gars nous dit que ça ouvrira pas avant 9 heures. Cool ! 1h30 à poirauter comme des loosers.
On se met donc à jouer à nos jeux préférés : Gwen insulte ma soeur, pendant que je lui propose d'aller voir sa mère, on se fout de la gueule des mecs qui se baladent avec une tente Keshua dans le dos, ça fait un peu tortue ninja, ou chevaliers du zodiaque, c'est un peu comme on le sent. Ca fait surtout très très con...

9h30 :Finalement, on pénètre enfin dans le camping, où l'on paie par tente (et non par personne), et chaque tente se voit attribuer un numéro. Pour nous, ce sera numéro 1 et 2. Le standing est respecté, les tentes sont plantées, et ça commence à s'activer partout sur le terrain vague...

10h30 : on décide d'aller recharger les accus en Espagne, et on achète alors moultes cigarettes et moultes frites (non, je déconne, mauvais jeu de mots...) et moultes boissons vomitives après une consommation excessive...

14h00 : on est sur la plage, on se détend, certains rougissent, d'autres ont des érections. Enfin, classique de plage, quoi...

18h00 : on commence l'apéro. Chaud bouillant. Tous habillés de blanc et rouge, on commence à se chauffer, quand tout à coup, nos petites oreilles ouïssent un chant bien connu des services de secours du ministère de l'intérieur : "En pleine nuit une sirène, tou tou tou, tou tou tou tou tou, appelle au feu tous les p....".
Ni une ni deux, Gwen et moi gravissons la montagne (ok, la butte, quoi) et on tombe sur une équipe de gros festayres en train de chanter LA chanson. Gwen demande c'est qui qui peut nous payer l'apéro, et aussi c'est qui qui est pompier. Pour l'apéro, c'est baisé, ils sont à sec. Pour les pompiers, c'est cool, y'en a (qu') un, mais le reste, c'est une charmante équipe de rugby de la région auxerroise : 1m 70 minimum, et 200 kilos minimum (pas forcément que du gras, d'ailleurs...)

19h00 : on propose à nos nouveaux accolytes (alcooliques ?) (10 mecs, 4 filles) de venir vider nos recharges espagnoles (dont une bouteille de ricard de 2 Litres qui vivra 2 minutes et 37 secondes...) Les fêtes démarrent bien, et on se retrouve avec un groupe de 20 dans les rues du petit Bayonne, avec une mini-charge dans le bec...