dimanche, septembre 17, 2006

Jeudi matin : on se fait réveiller par le soleil. A Bayonne, il pleut pas longtemps, et le soleil reprend ses droits rapidoss.

Ce soir, il y a que du bonheur qui arrive : Géraldo, Céline, manu et pierre. Enfin, quoi, de quoi compléter la bande de lascards et faire n'importe quoi.

En plus, Rouquin (un des auxerrois) me confirme qu'ils vont à leur tour se ravitailler au pays des banderilles. Apéro costaux en prévision.

Par contre, le réveil est mitigé, on a envie de décéder, R1 se demande comment il s'est fait ça à sa main, et ne se souvient plus qu'il a insulté le médecin pompier qui lui a posé les points, et qu'il a insulté une secouriste parce qu'elle lui demandait son nom et son prénom. Elle voulait en savoir trop...

Enfin, on décide de se cassosss à la playa, et avec cela comme grande idée d'aller manger un morceau à la cafèt' du casino. Outre le mangeage, un bien précieux se trouve là-bas, à savoir, des toilettes en dur, avec une cuvette et tout et tout...
On s'est d'ailleurs assez rapidement rendu compte que c'était une planche de salut pour beaucoup de monde...

Bref, passons, passons. Le soir, voilà les potos de Paris réunis, et l'apéro se déclenche assez rapidement chez nos amis du ballon ovale. On picolle comme des coins.

Géraldo s'adonne à son sport national, le noircissage des incisives, et nous apportons une touche artistique en rajoutant du rouge (on est à bayonne bordel de nouille).

Enfin, après un apéro prolongé, on migre vers le p'tit Bayonne, en n'oubliant pas de s"arrêter chez tous les voisins (1.500 tentes, ça fait des voisins)... Et cette soirée est assez rapidement placée sous le signe du n'imporque quoi, avec un gros seatting sur une place où il y a un concert. On en profite pour shooter des fesses... Et nos groupies...










Enfin, bon, après cette pyramide de cul, on en arrive au truc assez classique pendant les fêtes : on se perd. Il y a donc deux groupes qui se forment. Pas cool, je perd géraldo et céline, alors que je voulais faire les fiestas avec eux.

Enfin, bref, on continue la soirée, sous les halles, où il fait bien chaud, à se tamponner au ricard. La soirée est bien chaude et on est prêt à aller jusqu'au bout.