mercredi, janvier 10, 2007

Salut les zigouigouis ! Je m'en vais vous compter notre petit périple pour aller visiter l'oncle Sam, appelé communément chez nous JP, dans ce magnifique Etat que l'on appelle New-York, et dans cette magnifique ville que l'on appelle New-York... Comme si dans le Lot et Garonne il y avait une ville qui s'appelait Lot et Garonne... N'importe quoi ces ricains... Ils tombent vraiment dans la facilité...


Enfin, bon, bref, j'ai oublié de vous préciser que l'oncle JP était venu avant cela nous rendre visite en France, et notamment à Nantes, pendant quelques jours. Il a logé dans mon humble appartement sur le canapé de coin, mais je vous rassure, il a passé plus de temps dehors, à faire la fête... Jeunesse décadente... Ah, les amériques, encore un bel exemple pour notre jeunesse catholique française !

Enfin, bref, après, il est reparti chez lui, et donc, avec R1, on a décidé d'aller lui rendre visite pour le premier de l'an...

Bon, alors, OK, on n'a pas ramené de foie gras, de pâté, de rillettes et autres charcutailles à la française. Merci d'ailleurs à Thomas, qui était allé voir JP avant nous, et qui lui, avait rempli ses bourses (assez rare d'ailleurs que Thomas ait ses bourses remplies... Enfin, j'me comprends...). Nous, on avait, sous l'influence de la beauté d'une hôtesse d'un duty free, ramené une bouteille de Ricard. "Sûr qu'elle passe !" qu'elle nous avait dit ! Félonne, traîtresse, créature de l'enfer ! Pour faire court, la bouteille est restée au Canada (escale), et doit être en ce moment même torchée par des douaniers ricains...

Bref, on a quand même réussi à passer, non sans que votre serviteur n'ait eu la très brillante idée de se couper les cheveux et de se raser... Sinon, avec mes origines et mon nom sur le passeport, j'avais 1 chance sur 2 de passer par la case "entretien privé avec un douanier fort sympathique..."

Bref, tout ça pour dire que, après les pleurs d'R1 face au rapt ignoble de sa bouteille de ricard, nous avons rapidement retrouvé le sourire ! Et ouhais, JP, après nous avoir ouvert la porte, nous a accueilli avec du... Ricard... Balèze, pépère, balèze...

Arnaud, le colloc (beau gosse, normal, Sud-Ouest represent !) fait donc notre connaissance dans cette situation, qu'il connait bien de toute façon, puisque comme je vous le dis, donc, il est originaire du Sud-Ouest, et vient donc, finalement, du pays du ricard, un peu quand même... Si, faut le dire... Les gens ont le droit de savoir quand même...







Bref, on s'est rapidement retrouvé dehors afin de pouvoir bouger notre corps (et oui, là, sur la photo, c'est la salle à manger sans déplier le lit...) et accessoirement aller manger...









Et puis on s'est rapidement retrouvé dans un bar à deux pas de l'appart de JP et Arnaud (et oui, tous les français sont en colloc, là-bas, rapport au prix du m²...) avec des bières à la main et des allemands complètement bourrés (cf la personne en chemise dégueu qui est entre nous et que personne ne connaît...)





R1 n'a pas supporté le "décalage horaire", et le maître de la photo, à savoir notre logeur JP, n'a pas loupé cet instant magique. La posture est droite, le croisement des mains sublime, et l'engagement dans l'effort est réellement beau... Moi, je mets 19/20 en note technique... On vous rassure, la défaillance d'R1 n'a duré que quelques instants, puisque celui-ci a rapidement repris ses esprits...




Enfin, bon, c'était une première petite soirée assez pépère, et en tant que fumeur occasionnel, j'ai vraiment apprécié de pouvoir rentrer me coucher sans que mes fringues ne puent la clope (c'est interdit là-bas de fumer dans les bars et les boîtes et les restos et les WC et le cinéma et les magasins et les Mc Do... Enfin, c'est juste autorisé dans la rue quoi...)


Enfin, le vendredi, après un réveil matinal (13h30 quoi... Mais faut bien rattraper le décalage horaire !). On se promène dans NY avec R1, et notre première destination est rapidement convenue : le Ground Zero, ruines en reconstruction des Twin Tower. Le lieu est rempli de touristes, et des photos, des panneaux d'explication, et un mur en bronze en l'honneur des disparus témoignent de la grandeur de la catastrophe. J'ai quelques photos, mais je suis dans l'inpossibilité de les mettre sur mon blog à l'heure actuelle, vu que j'ai pas le cordon pour brancher mon appareil photo, parce que 5 jours après mon retour, je n'ai toujours pas récupéré ma valise... Vive Air Canada... Enfin, bref...

Enfin, rectificatif, je viens de recevoir, 8 jours après ma valise. Je m'en vais donc vous montrer quelques petites photos remplies d'émotion que j'ai pu prendre du Ground Zero :

D'abord, les jolis camions de pinpons (ah, là, y'a de la pompe !) :






Et le mur en honneur à tous les disparus en service commandé :




Le ground zero à l'heure actuel :







Et le mur hommage avec une série de photos... poignantes... :









Voilà, on peut aimer ou pas les ricains, faut avouer que ce lieu dégage vraiment quelque chose de particulier... A méditer...


Le lendemain, on va au national history museum, et on visite pleins de galeries avec pas mal d'expos assez sympa. Planétarium (avec la voix de Robert Redford, c'est à dire un accent de texan de fou, que tu comprends rien...), expo sur l'or avec des lingots partout, salle à papillons vivants qui te tournent autour (rigolo, mais chaud et humide...), et animaux pour de faux que j'ai même pas peur...









Enfin, après ces quelques minutes sérieuses, revenons à des joies plus triviales... Après ce petit périple, et les quelques dizaines de kilomètres à pattes obligatoires dans les rues de NY, on revient à l'appart' pour attendre bien sagement notre JP national qui est allée travailler... On se repose un peu, on essaie (ça reste une tentative...) de se transformer en beau gosse, et direction un resto chintoc japonais où ils te font des grillades à ta table. Je passe pour un bouffon avec ma serviette, mais la tâche sur la chemise rose est relativement mal vue à l'entrée des boîtes (déjà qu'avec nos gueules, c'est chaud, alors autant mettre tous les atouts de notre côté...) Surtout que JP nous prévient que ce soir-là, c'est boîte chic, donc, tirage à 4 épingles...







La bouffe est super, et on s'en va au Marquee, célèbre boîte chébran de chez chébran. On arrive à passer, et là, commence tout doucement l'apprentissage de l'économie américaine en boîte : tu lâches du pognon aux vestiaires (3$ par article, c'est à dire que si t'as un sac, un pull, une écharpe, et un parapluie, ton budget pour la soirée est salement amoché... + un pourboire si t'es gentil...), tu lâches un "tip" à la serveuse (1$ par verre en général, même si son physique avantageur prêtait à le donner avec un sourire) et, le plus beau, tu lâches 1$ aux chiottes, parce que t'as un gars qui te tend une serviette (alors que j'ai vérifié dans mon manuel technique personnel, et ma main droite, comme ma main gauche, sont fonctionnellement capables de le faire sans aide externe...)

Bon, en tout cas, la soirée se remplit super vite, et la musique est pas mal du tout. On passe donc un super soirée.

Le lendemain, on est un peu vidé, et on se lève à 14h00, comme des guerriers. L'appel du brunch se fait sentir...





On a des têtes de guerriers avec R1, surtout que l'on prend tous les deux la même chose, c'est à dire une salade (on dit non à la junk food !), et pour 10$, on nous amène un truc super consistant... Jugez par vous-même... Bon, ça tombe bien, on n'a pas trop faim, mais c'est la première arnaque du séjour... JP a pitié de nous et nous donne des p'tits morceaux de son assiette...

Ensuite, on va se taper quelques blocks à pied, histoire de digérer, et on rencontre quelques endroits insolites, immortalisés pour l'occasion...












Enfin, c'est pas mal, on s'amuse bien. On finit la soirée dans un bar dansant, où on fait quelques rencontres amusantes et où apparaît for the first time la p'tite bougne du frère de JP, à savoir Oliv', dit Gerry, dit le convalescent, puisque tout droit sorti d'une opération avec anesthéise générale et approximativement 24 heures de repos... Time is money aux states ! En tout cas, il reste relativement sobre cette soirée, mais l'esprit de la fête n'est pas mort, et je sens un énorme potentiel entre les mains de ce mec. Et je ne serai pas déçu (voir plus loin...).








Le dimanche, il faut commencer à se préparer au réveillon. Nous en avons conscience, et c'est pour cela que notre réveil matinal sonne vers 12h30... Après un rapide brunch, et un rapide caca de JP dans la rue (on n'a pas le droit de faire pipi dans la rue, mais en ce qui concerne le "number 2", c'est beaucoup moins clair...). En tout cas, JP prend tous les risques pour nous impressionner et nopus montrer qui fait la loi à NYC. On est Capichef, ou on l'est pas, mais on va pas se laisser emmerder par 2 poulet en uniforme sous prétexte qu'il ont une arme !




Ensuite, direction la plus vieille taverne de NYC, où on boit quelques mini-bières pas chères. Le lieu est vraiement sympa, on se retrouve à table avec des gens qu'on connait pas, et en plus, ça change au fur et à mesure des départs. Il y a de la sciure par terre, c'est kitch, j'aime...




Au final, après avoir reçu 20 textos de France m'en souhaitant une bonne et heureuse (6 heures de décalage horaire), je me dis qu'on doit se préparer à faire notre réveillon à nous...

Direction l'appart' d'Anne-Lise, qui nous attends avec des pizzas. Beaux gosses, on amène le champ', et R1 porte son uniforme de mexicain, avec des lunettes flashouilles.



On fait donc une pure soirée sur un roof-top (en haut d'un gratte-ciel, quoi), juste à côté de time square, et à minuit, on entend la foule crier et chanter. Tout le monde semble surpris, sauf bien entendu votre serviteur, pour qui ce genre de manifestation est relativement quotidienne partout où il passe... Enfin, bref, ne nous étendons pas sur le sujet... Je suis fidèle à moi-même, beau prince sur les photos où il y a des jolies demoiselles... (hum...)



JP et Oliv' jouent à un jeu d'ardéchois, genre, si tu m'attrappes, j'ai perdu. Je comprends rien, mais ça me fait marrer. Et dire que ma mère est d'origine ardéchoise. Je comprends mieux maintenant pourquoi je suis comme je suis, pourquoi je pense ce que je pense, et surtout, pourquoi je fais ce que je fais...

On pète les bouteilles de champ', et on revient rapidement à l'appart' de Rasmy (j'ai déjà fait la blague de Eric et Rasmy, mais j'avoue qu'elle a fait un bide... Trop courante sans doute de la part de p'tits cons de français qui débarquent à NY...).

On mange, on boit, on raconte des blagues, et assez rapidement, on s'en va dans une boîte que connaît Rasmy. Et au final, c'est pas mal du tout.



On arrive en boîte. R1 possède sa panoplie de mexicain, et le maître de la soirée s'avèrera être Oliv', genre, le beau gosse, il a payé à boire à tout le monde dans la soirée ! Comme si il allait s'en tirer sans dommage collatéral ! C'est mal connaître el nicoco, qui lui a reservé une petite surprise (voir plus loin...).

On choppe des ballons avec de l'hélium, on en aspire la moitié, et l'autre moitié est accrochée au chapeau d'R1. C'est n'importe quoi, c'est sympa, on rigole et on discute avec le patron de la boîte qui est marocain et qui parle français (sans quoi Amandine, qui n'avait pas d'ID, serait restée dans la rue...).

C'est fun, c'est beau, c'est rigolo...

Oliv' continue de faire le distributeur d'alcool (c'est le premier de l'an le moins cher de ma vie), je fais des grimaces avec Anne-Lise, et R1 s'envole dans les airs et essaie accessoirement de chopper. Moi aussi d'ailleurs, mais c'est alors que je me rappelle que je ne suis pas de la jaquette, et donc je laisse tomber l'affaire (dommage, je comprenais rien à ce qu'il disait (américain), ce qui est, vous en conviendrez, un point commun assez étrange avec les femmes en général...)/ Bref, je restabilise mon self control, et récupère une demi-douzaine de long island offert par le distributeur national de boisson qu'est Oliv'...











Au final, on est démonté, et je suis raisonné assez tôt sur le chemin du retour, avec beaucoup de diplomatie, afin de laisser tomber le plot pour lequel je suis tombé amoureux et que je veux à tout pris ramener chez Anne-Lise... Dommage, ça aurait changé de la présence masculine (trop ?) de R1 à mes côtés dans le lit...

On se fait réveiller le lendemain par Gérald qui téléphonne à 13 heures, heure locale, de France (il est donc 19 heures en France) complètement bourré, et qui beugle au téléphone qu'il veut parler à tout le monde ! La facture de téléphone n'est pas encore arrivée, mais je crains le pire...

Au final, tout ce petit monde sort de l'ombre au bout d'un moment, et JP nous emmène dans un Corner Bistrot, pour manger le plus épais hambureger du monde (si tu veux croquer dedans, il y a plus de la moitié de la surface de ton visage qui touche le hamburger... C'est rigolo, et c'est bon...).

Après, on fait un peu nos larves, et on se ballade afin de digérer. Mais on va pas trop loin en terme d'excès le lundi soir. Les batteries sont à plats. Il convient de les recharger. Surtout que ce qui arrive derrière est énorme !

La semaine passe tranquillou, à base de visite de quartier, de prières pour que je puisse retirer du pognon (j'avais dépassé le quota hebdomadaire), et c'est d'ailleurs surtout ça qui m'intéressait, parce qu'avec le plan destruction à l'oeil que j'avais concocté pour Oliv', en représailles du 1er de l'an, j'étais mal barré sans autorisation de cash...

Bref, on fait la statue de la liberté gratoss, en passant devant avec le Ferry qui est en fait une prolongation du métro (depuis le 11 septembre, on peut plus monter dans le bras, alors l'intérêt est moins important...). On passe devant Ellis Island, là où on triait les immigrés qui venaient aux states. On fait le quartier de Wall Street, et je persuade mon p'tit R1 de monter sur le taureau, symbole de la croissance dans le quartier des affaires. On fait chier tous les touristes qui font des photos conventionnelles, et j'immortalise el torero Erwanito, bravant sans peur et sans reproche la fougue du bovidé en bronze.




Bref, journée pépère, et on fait dans la soirée une petite halte dans une boîte sympatoche, où on peut fumer à l'intérieur, car il y a des narguilés un peu partout. C'est rigolo, et ils passent une super petite cession de zic, et on va danser tous les 3 comme des chefs, faisant rêver la demi-douzaine de personnes présentes (j'hésite entre rêve et peur, avec du recul...)




Bref, on se ballade, c'est pas mal, et puis, subitement, jeudi, on retrouve les potes du meilleur pote de JP, à savoir Jérèm, qui est là pour un mariage. P'tit resto japonais, où on prend pour une trentaine de dollars de victuailles, et ou on se retrouve à payer 60€ chacun. Bon, heureusement que le cash était là... On va le lendemain au Rockfeller Center, où on peu admirer le gigantesque sapin de noël (pour vous dire qu'il est grand, je pense qu'il passerait pas dans mon appart', alors, c'est pour dire...)



Et après, on se re-retrouve au marquee avec toute la troupe, et là, on fait n'importe quoi, à coup de long island destructeurs (notez le "s", il y en a eu plusieurs...) et de danse typiquement américaine avec les certaines demoiselles très portées vers les mecs. Mais face au êu de succès remporté, je me rabats sur les plots dehors, compagnons plastiqués beaucoup plus sympas que ces demoiselles "volatiles" attirées par le champagne...





Comme il se fait tard, et que j'ai pas le temps, et que j'ai perdu ma CB à Paris, et que je me suis fait flashé sur le périph, et que j'ai perdu 4-0 samedi en match de foot, je vais partir pleurer et je continuerai mon p'tit blog plus tard...

ça fait donc une grosse paie que je n'ai pas remis au goût du jour mon blog. Excusez pour le retard à l'allumage, problème de bougies...

Donc, pour vous conter la fin de ce séjour fabuleux, quoi de plus normal pour moi que de vous parler de cette soirée de décadence, que dis-je, de pur délire sans but lucratif, mais avec beaucoup d'alcool et de citrons verts...

C'est en effet la soirée qui a commencé chez Oliv', où nous avons partagé des pizzas américaines pour 2 à 6 (taille XXXXXXL oblige), et où, en dignes bons franchouillards que nous sommes, nous nous sommes délectés d'une entrée classique, c'est à dire foie gras et pain grillé (de main de maître par R1 qui a battu le record du monde d'allers retours à la cuisine dès qu'il entendait la douce sonorité du grille pain qui le tirait de sa chaise...). Donc, je rappelle aux nurtitionnistes éventuels qu'un repas bien équilibré peut se faire avec du foie gras et des pizzas. Régime superlipidique qui pourrait à lui seul érradiquer la problématique de faim dans le monde, puisque nous avons incurgité à nous seuls sur un repas autant de calories que peuvent consommer 50 casques bleus en mission en côte d'ivoire avec leur ration de survie pendant 20 jours...









Bref, après ces moutles ripailles et quelques séances de déguisements chères à notre ami JP, qui est l'instigateur des soirées "change de tête et sircule dans la rue comme ça même que les gens ils s'en foutent" à NYC, nous sommes parti vers une boite au sud de manhattan. Boite gay, précision importante, donc boite ouverte d'esprit (et de corps, n'est ce pas R1 ?).

Là, je décidais enfin de me venger d'Olivier (voir dessus) et je fis comprendre, avec ma tête de monstre, à ce cher monsieur qu'aucun dollar ne sortirait de sa poche ce soir. C'était open bar pour tonton Oliv', qui a rapidement acquis le principe du "j'ai fini mon verre, tiens, non, bein, ma main est re-pleine d'un verre re-rempli, c'est bizarre, tiens, nico, qu'est ce que tu fais, oh non, je peux pas accepter, bon, je vais goûter quand même, merci, mmmhhhh, c'est bon, je vais finir par politesse, tiens, j'ai fini mon verre, tiens, non, bein, ma main est rere-pleine d'un verre rere-rempli, c'est bizarre, tiens, nico, qu'est ce que tu fais, oh non, je peux pas accepter, bon, je vais goûter quand même, merci, mmmhhhh, c'est bon, je vais finir par politesse,j'ai fini mon verre, tiens, non, bein, ma main est rerere-pleine d'un verre rerere-rempli, c'est bizarre, tiens, nico, qu'est ce que tu fais, oh non, je peux pas accepter, bon, je vais goûter quand même, merci, mmmhhhh, c'est bon, je vais finir par politesse..."











Ce cycle a été reproduit 27 fois dans la soirée, ce qui veut dire qu'Oliv' a pu retrouver le chemin de son appart', mais franchement, perso, je pense réellement qu'il y a eu intervention d'une entité extraterrestre, avec télétransportation et tout le bazar pour ça, sinon, je comprends pas...

Bref, soirée de folie, et c'était vraiment cool. Un grand merci à tout le monde, et notamment à une nana qui a mis sa bouche dans celle d'R1, pour voir comment c'était... Et R1 a disparu pendant quelques heures, même si il réapparaissait de temps en temps sur le canapé, accroché par la bouche à une nana...



Nous avons fini par tenter de rentrer à pied chez JP, sachant que j'aurai pu aller en prison car j'ai eu la folle idée (envie serait le terme le plus appoprié) de faire pipi dans la rue. Et si un flic vous choppe à faire ça là-bas (ou si vous êtes dénoncés par votre vil voisin perfide), vous allez direct à la case prison sans toucher le salaire de la fin du mois...



Enfin, bref, cette soirée nous a valu un lendemain difficile, mais comme dit Jean François Laxatif "Quand on abuse, on le paie toujours un jour ou l'autre, et ça sent pas bon..."


Mais loin de nous l'envie d'en rester là, donc, nous avons décidé de réutiliser nos costumes de gavroches, de pantins et de clowns, afinde réïtérer une petite soirée accompagné de Jérèm, et là encore, ça à donné quelque chose de bien "down"esque...














Enfin, bref, tout ça pour dire que je me souviendrais éternellement de ce séjour, en ne pensant qu'à une chose, c'est de revenir voir la tête de mon petit JP national le plus tôt possible au pays des gros... Donc, ne fais pas cette tête mon p'tit JP, i'll be back !









Et n'oubliez pas :
MANGEZ DU CHOUX FARCI !!!!!!!



Dernière petite dédicace : le 17 février, une petite Julie est arrivée sur la planète terre. Alors, à ma nièce chérie, même si tu fais 3,3 kg, quand tu en feras 15 à 20 fois plus, et que tu tomberas par hasard sur ce blog, et bein, ne crois pas tout ce qui est dit, car... C'est totallement vrai et j'assume à 400000000 % ce qu'on a fait !!!!!!!!