Bref, d'abord, un tableau de la fine équipe qui m'entourait... Quelques petites photos montrant :
1 : le réveil du samedi matin
2 : le réveil du dimanche matin...
Voilà... Cherchez les 7 différences... Y'en a pas... Et y'a pas de triches, ces clichés sont bien pris avec 24 heures de décalage...
Avant de vous dire ce qu'il s'est passé pendant ces 24 heures, un petit aperçu de l'état de mon salon... Dire qu'il y en a qui ont été indemnisés après le tsunami...
Bref, tout ça pour dire que notre périple a débuté le vendredi soir à la gare, ou après quelques pastis chez moi avec Thomas le Maltais, nous sommes allés récupérer une charmante demoiselle et deux parisiens déjà partiellement fumés par des consommations illicites dans le TGV.
L'honneur ne pouvait être sauf que si tout ce petit monde réquilibrait son grammage chez moi, vers 22h00, autour d'un apéro festif et bruyant, mélant joyeusement blagues de cul, racontage de nos vies, et déclamation philosophique sur la capacité reproductive de la mouette rieuse après un vol au dessus de tchernobyl... Bref, on racontait tous n'importe quoi...
Il fût alors temps de partir en ville, en utilisant le tram (les PV, ça coûte cher, les points aussi...), non sans d'ailleurs être très rapidement repérer puisque le grand jeu de R1 et Gérald était d'ouvrir et de fermer les portes du tram en suivant pendant au moins 10 minutes... Sentant une envie de meurtre assez généralisée s'installer autour de nous, nos chers artistes en carton-pâte mirent fin, non sans déception, à leurs hobbies de la soirée...
Et zou ! direction le 911, petit bar de pompiers à nantes, ma foi pas mal. On s'en met quelques uns derrière la cravate, puis on décide de migrer en ville pour aller à l'Evasion. Là, rencontrage de plein de gens que je connais, et donc, on se retrouve à 200 dans la boîte, à faire n'importe quoi. R1 panique parce qu'il est persuadé d'avoir perdu ses clefs d'appart' de Paris, et harcèle pendant 15 minutes la nana du vestiaire, ce qui ajoute une touche pimentée à notre soirée déjà bien entamée.
Enfin, nous arrivons à terminer la soirée en rentrant à pattes pour certains, en stop pour d'autres, et nous nous couchons (certains bien accompagné) afin de reposer nos corps de guerriers des temps modernes.
11h00 le matin, je me lève, tête dans l'cul, faisage de pâtes pour 10 (match de foot pour moi l'après-midi) et réveil progressif des grosses larves (Gérald ayant choisi la solitude de mon canap'). Je me casse au foot, les mecs se barrent à l'ENIT' pour se prendre des branlées au baby.
On se retrouve le soir pour la soirée de l'AID (Association des Ingénieurs Diplômés) au Wilton, boite de night de nantes. Là on commence à revoir des têtes connues, et des moins connues d'ailleurs, voire des pas connues du tout. Mais premier constat, une grande partie des étudiants jeunes travailleurs sont en costards ! Le sérieux légendaire de l'ENITIAA serait-il remis en cause par quelques fans de costard 3 pièces avec boutons et sur le costard et sur la gueule ? Ne pourrions nous pas nous concentrer sur l'homme, et non sur l'apparence ? Ne doit-on pas mettre en place un "permis de porter le costard" ?
En tout cas, ça fait beauf, et on se croirait à HEC bordel... Heureusement, des fidèles de la tradition vestimentaire initiée par Jean Pascal Beauf en 1987 sont bien là, et nous nous regroupons donc entre adeptes du jean - calebard - T-shirt dégueu.
On commence à boire sévère et à pouiller le photographe officiel en faisant des poses dégueux derrière des gens sérieux... Bon, ça va, on se prend pas de patates, mais y'a quelques noms à particules qui ne semblent pas apprécier... L'Enit, le nouveau 16ième ? En tout cas, ça y ressemble, à coup de "plaît il ?", "Quand-je ?" Comment-je ?"En parlant de comment-je, comment mangeons nous, d'ailleurs ? (appréciez le subtil jeu de linguistique parfaitement maîtrisé pour évoquer, que dis-je, engager la partie sur la dîner, la réception, que dis-je, les amuse-bouches...)
ça pète, on impose notre style, mais on a faim... On n'est pas là pour rigoler, et on a quelques whysky cock à éponger... Et là, pas de bol... Une idée du repas pour 15 :
Diantre ! allez vous m'assener sans sourciller. Et oui, c'est pas cool, on a les bool, donc on picool... (oui, je sais, mais bon, si quand même, il fallait la faire...)
Du coup, on picool, et ça donne ça... (avec dedans des photos de gens que je connais pas...)
Je laisse le mot de la fin à Thomas : "moi, après, une dure soirée, je me lève avec déodsoud'bras qui puent". C'est mon partenaire Crédibilité... Fort Tom, fort...
Je vous aime les lascards... il en manquait plus qu'un... JPNY, ce message est pour toi... On t'aime...